„Au Lecteur”
La sottise, l’erreur, le péché, la lésine,
Occupent nos esprits et travaillent nos corps,
Et nous alimentons nos aimables remords,
Comme les mendiants nourrissent leur vermine.





Podobne wiersze:
- AU LECTEUR La sottise, l’erreur, le péché, la lésine Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, […]...
- X L’ENNEMI Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage, Traversé çŕ et lŕ par de brillants soleils ; Le tonnerre et la […]...
- LXVIII LE CRÉPUSCULE DU MATIN La diane chantait dans les cours des casernes, Et le vent du matin soufflait sur les lanternes. C’était l’heure oů […]...
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- Wilhelm Apolinary Kostrowicki „Cyganka” (La Tzigane)/tłumaczenie A. R. S/ Wilhelm Apolinary Kostrowicki Cyganka Cyganka przewidziała zmyślnie Losy nam przedawniły noce I w pożegnaniu marnym groszem Nadzieja nagła była wyjściem […]...
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- XXXIII LE CHAT Viens, mon beau chat, sur mon cur amoureux ; Retiens les griffes de ta patte, Et laisse-moi plonger dans tes […]...
- LXII SPLEEN Quand le ciel bas et lourd pčse comme un couvercle Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que […]...
- XXXVI TOUT ENTIČRE Le Démon, dans ma chambre haute, Ce matin est venu me voir , Et, tâchant de me prendre en faute, […]...
- XXXII REMORDS POSTHUME Lorsque tu dormiras, ma belle ténébreuse, Au fond d’un monument construit en marbre noir, Et lorsque tu n’auras pour alcôve […]...
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- LVI LES CHATS Les amoureux fervents et les savants austčres Aiment également dans leur műre saison Les chats puissants et doux, orgueil de […]...
- XXVII UNE CHAROGNE Rappelez-vous l’objet que nous vîmes, mon âme, Ce beau matin d’été si doux : Au détour d’un sentier une charogne […]...
- LXXIII LE MORT JOYEUX Dans une terre grasse et pleine d’escargots Je veux creuser moi-męme une fosse profonde, Oů je puisse ŕ loisir étaler […]...
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- XXXVIII LE FLAMBEAU VIVANT Ils marchent devant moi, ces yeux pleins de lumičres, Qu’un Ange trčs-savant a sans doute aimantés ; Ils marchent, ces […]...
- XL RÉVERSIBILITÉ Ange plein de gaîté, connaissez-vous l’angoisse, La honte, les remords, les sanglots, les ennuis, Et les vagues terreurs de ces […]...
- XXXVII Que diras-tu ce soir, pauvre âme solitaire, Que diras-tu, mon cur, cur autrefois flétri, A la trčs-belle, ŕ la trčs-bonne, […]...
- XXX LE LÉTHÉ Viens sur mon cur, âme cruelle et sourde, Tigre adoré, monstre aux airs indolents ; Je veux longtemps plonger mes […]...
- XXXI Une nuit que j’étais prčs d’une affreuse juive, Comme au long d’un cadavre un cadavre étendu, Je me pris ŕ […]...
- IV CORRESPONDANCES La Nature est un temple oů de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L’homme y passe ŕ […]...
- VI LES PHARES Rubens, fleuve d’oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche oů l’on ne peut aimer, Mais oů la vie […]...
- XIX LA GÉANTE Du temps que la Nature en sa verve puissante Concevait chaque jour des enfants monstrueux, J’eusse aimé vivre auprčs d’une […]...
- III ÉLÉVATION Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées, Des montagnes, des bois, des nuages, des mers, Par-delŕ le soleil, par-delŕ les éthers, […]...
- XXIX LE VAMPIRE Toi qui, comme un coup de couteau, Dans mon cur plaintif es entrée, Toi qui, comme un hideux troupeau De […]...
- XVI CHATIMENT DE L’ORGUEIL En ces temps merveilleux oů la Théologie Fleurit avec le plus de sčve et d’énergie, On raconte qu’un jour un […]...
- LXI SPLEEN Je suis comme le roi d’un pays pluvieux, Riche, mais impuissant, jeune et pourtant trčs-vieux, Qui de ses précepteurs méprisant […]...
- LXXII LE REVENANT Comme les anges ŕ l’il fauve, Je reviendrai dans ton alcôve Et vers toi glisserai sans bruit Avec les ombres […]...
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- XXXIV LE BALCON Mčre des souvenirs, maîtresse des maîtresses, O toi, tous mes plaisirs, ô toi, tous mes devoirs! Tu te rappelleras […]...
- XXV Avec ses vętements ondoyants et nacrés, Męme quand elle marche, on croirait qu’elle danse, Comme ces longs serpents que les […]...
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- XLI CONFESSION Une fois, une seule, aimable et douce femme, A mon bras votre bras poli S’appuya ; sur le fond […]...
- LV MSTA ET ERRABUNDA Dis-moi, ton cur parfois s’envole-t-il, Agathe, Loin du noir océan de l’immonde cité, Vers un autre océan oů la splendeur […]...
- XLIII HARMONIE DU SOIR Voici venir les temps oů vibrant sur sa tige Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ; Les sons et les […]...
- XXXIX A CELLE QUI EST TROP GAIE Ta tęte, ton geste, ton air Sont beaux comme un beau paysage ; Le rire joue en ton visage Comme […]...
- LX SPLEEN J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. Un gros meuble ŕ tiroirs encombré de bilans, De vers, de […]...
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